Toi ? ici ? (Antonella)

Donner la vie, est le meilleur cadeau que nous pouvons faire à quelqu'un. Ce cadeau permet de faire connaitre le monde, ses secrets, faire connaitre l'amour. Il y a pleins de bons côtès que nous oublions trop souvent car nous ne voyons que les mauvais côtès comme le dépression, la mort. Le plus souvent, nous ne sommes pas assez reconnaissant envers nos parents pour ce cadeau merveilleux qu'ils nous ont donné. C'est le cas du jeune Storm, sa famille, il la déteste. Sauf son père et son grand-père qu'il adore plus que tout. Par contre, son frère, sa mère et sa grand-mère, il les détèste de part leurs comportements, leurs lâchetés et leurs insouciances. Mais depuis quelques temps, tous ses problèmes n'avaient plus d'importance. Il vivait heureux dans cette petite ville et ça n'avait pas l'intention de changer.

En cette soirée chaleureuse qui s'annonçait, Kale décida d'aller se promener et admirer le coucher de soleil. Il devait être 18h00 quand le jeune homme se changea après avoir pris une bonne douche. Bien sûr, il ne s'habilla pas comme si il sortait, il était certain de rencontrer personne. Il mit juste un jogging noir et une chemise blanche. Des chaussettes, une paires de baskets et c'est parti ! Pour une fois, il partit à pieds, il avait juste pris son portable et son MP3 pour l'accompagner. En arrivant sur un petit chemin non loin du parc qu'il allait sans doute suivre.

Kale commença à marcher tranquillement et une fois qu'il en eut marre. Il se mit assis sur le côtè du chemin qui était herbeux. Le coucher de soleil allait bientôt commencer sûrement alors il mit ses écouteurs sur les oreilles ne se doutant pas que quelqu'un arrivait vers lui.

Après avoir prit une douche bien mérité, Antonella Mercedes était resté en peignoir de soie blanche, assise sur son lit, a contempler son dressing. Qu’allait-elle ce mettre pour une fin de soirée. Elle détestait perdre son temps devant son miroir, mais un dressing, ce n’était pas pareil. Si ? Nan nan ! Finalement après avoir soulevé plusieurs cintres, elle choisit une Robe boule couleur noir [

] et des talon haut, noir. [

] Puis prenant soin de vérifier sa coupe, elle sortit avec la clef de sa voiture a la main. C’était un 4x4 de grande marque, qu’on ne citera pas. Car elle-même, certains, ne savait la citer.
Elle roula a grande allure vers le parc de l’ile, et se gara sur un parking désert. Aller savoir pourquoi elle s’était bien habillé pour aller au parc. Elle adorait la nature, les animaux, et avec son look, beaucoup se trompait sur son compte. Elle aimait le naturel autant que l’esthétique, voila tout. Le son de ses talons ne résonnait pas dans les graviers et elle soupira de joie. Le soleil allait bientôt s’éteindre, quand dans son champ de vision, un autre soleil éblouissait. Elle retint un rire, comme à chaque fois qu’elle voyait la tête de Kale, et s’avança jusqu'à lui. Ou plutôt, derrière lui.
Lui et elle, s’était une grande histoire de…jeu. Enfin. Elle s’essaya derrière lui, et se penchant en avant, elle lui souffla a l’oreille.
« Ciao bell'uomo. On admire le soleil ?’ »
La plus part de ses proches connaissaient son origine italienne, mais peu comprenait les quelques mots qu’elle prononçait dans sa langue natale.

Citation :: ciao bell'uomo ; Bonjour bel homme.

- Salut ma belle. Le soleil n'est rien comparé à ta beauté tu sais ?

.

« Ah j’adore quand tu me complimente. Mais merci. »
Dit-elle en s’asseyant a coté de lui. Elle croisa ses longues et fine jambes en fixant le soleil. Il allait bientôt s’éteindre, lentement. Magnifiquement. Elle retint un rire. Elle n‘aurait jamais imaginé Kale sentimentale, du moins poète. Elle le voyait plutôt comme un coureur de jupon, avec qui elle pourrait se marrer. Au fond, elle était un peu pareil. Jamais stable, elle adorait les hommes. Mais au jeu auquel lui et elle jouait, elle était sure de gagner. Pour autant, elle se demandait si il l’appréciait vraiment. Elle refoula la question. Anto n’était pas quelqu’un qui se posait des questions, non. elle, elle agissait, c’était tout. Elle attendit puis dit.
« Tu m’as même pas offert de cadeau pour Noel. Pff, méchant va. »
Elle fit une mine boudeuse en tournant la tête. Elle, elle avait déja tout prevus. Elle en riait interieurement.